Accord médico-mutualiste
Chaque année, les médecins généralistes et spécialistes ont la possibilité de décider s'ils adhèrent ou s'ils refusent l'accord médico-mutualiste. Celui-ci est conclu entre les représentants des médecins et ceux des mutualités et il fixe notamment les tarifs maximum qu’un médecin conventionné peut demander à son patient. Pour 2016, près de 84 % des médecins y ont adhéré et s'engagent donc à appliquer les tarifs conventionnés entièrement ou de manière partielle.
Par spécialité et région
Globalement, les pourcentages varient peu par rapport à ceux de l’accord précédent.L’adhésion des médecins généralistes reste la même. L’adhésion des médecins spécialistes augmente légèrement (+0,34 %). C'est à Bruxelles qu'on trouve le moins de médecins conventionnés : 81 % contre environ 84 % en Flandre et Wallonie. Parmi les spécialités les plus "conventionnées", on trouve la gériatrie, la biologie clinique, l’oncologie, la radiothérapie, la médecine nucléaire, la médecine interne et l’endocrino-diabétologie, l’anatomo-pathologie, la pneumologie et l’anesthésie-réanimation. Du côté des spécialités les moins "conventionnées", on trouve notamment la dermato-vénérologie, la chirurgie plastique et l’ophtalmologie.>
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